samedi 30 juillet 2011

Et HB-Henriot devient... Henriot Quimper

Les puristes vont tiquer mais sans doute la marque sera-t-elle plus aisément identifiable. Après de très longues années d'existence la référence à la marque HB disparait du paysage quimpérois. HB-Henriot devient Henriot Quimper et je souhaite à cette occasion une longue et fructueuse vie à la nouvelle marque !

Jean-Pierre Le Goff - cliché Le Télégramme

Dans Le Télégramme du jour :

Il va falloir s'y habituer. Désormais, il ne faudra plus dire HB-Henriot, mais Henriot-Quimper.
Jean-Pierre Le Goff, qui a officiellement repris la faïencerie de Locmaria, à Quimper, depuis le 7 juillet, a décidé de changer les noms de l'entreprise et de la marque. «C'est une volonté de moderniser l'image et de l'identifier à un lieu, Quimper», explique Jean-Pierre Le Goff, ingénieur naval de 57 ans à l'origine de la reprise du chantier naval Sibiril de Carantec en mars.

«Monter en gamme»

Dans les faïenceries, 26 des 50 salariés seulement seront conservés pour relever le nouveau challenge du repreneur : relancer une politique de création dès septembre, à laquelle des artistes devraient participer et «monter en gamme», selon les termes du nouveau venu.
Désormais installé dans la faïence, Jean-Pierre Le Goff lorgne sur la FAB, l'autre faïencerie quimpéroise. «C'est la voie privilégiée, je suis dans cette logique», a-t-il commenté. 

[suite]
Il va falloir s'y habituer. Désormais il ne faudra plus dire HB-Henriot mais Henriot-Quimper. Jean-Pierre LeGoff, le repreneur de la faïencerie de Locmaria, a décidé de changer les noms de l'entreprise et de la marque.

Entretien avec Jean-Pierre Le Goff sur la stratégie qu'il compte mettre en place pour redresser la faïencerie depuis la reprise le 7 juillet dernier devant le tribunal de commerce de Quimper.

Pourquoi changer le nom de la faïencerie, la rebaptiser Henriot-Quimper?
C'est une volonté de moderniser l'image. Dans HB-Henriot ont se souvient d'Henriot pas de HB. La tendance est à raccourcir la marque. Et de l'identifier à un lieu Quimper. Cela va aussi permettre d'associer le nom d'Henriot aux noms des créateurs à venir. On pourra dire Untel by Henriot en fonction des collections... Cela traduit aussi la volonté de marquer une nouvelle époque pour l'entreprise avec mon arrivée.

Votre plan prévoyait le maintien de 26 emplois sur 50. Comment s'est passée la reprise du travail à l'atelier lundi?
L'atelier était en vacances du 1er au 25 juillet. C'était curieux mais ce n'était pas de mon fait. La décision du tribunal de commerce est tombée le 7 juillet, je suis entré en possession des lieux le 11. En tenant compte des fins de carrière, des projets personnels, on peut dire que cinq salariés sur les 24 ont vraiment eu un licenciement subi. Lundi, deux personnes licenciées ont demandé à effectuer leur préavis pour donner un coup de main, c'est une attitude extraordinaire. Sur les 26 personnes reprises, il y a cinq peinteuses et la chef peinteuse.

Quelle organisation envisagez-vous dans les mois à venir?
La production tourne bien toute seule naturellement. Les gens ont une capacité à s'organiser entre eux, ils ont envie de bien faire à leur niveau. Cela me convient tout à faire, ce n'est pas la peine de mettre en place des sous-chefs et des petits chefs.

Concernant la direction?
J'avais déjà annoncé que le directeur général ne serait pas reconduit. Je n'envisage pas un directeur unique mais plutôt trois directeurs à temps partiel spécialisés en gestion, commercial et artistique. La formule est à mettre en place. En septembre, il va falloir absolument relancer une politique de création. Je vais rencontrer des artistes.

Et au niveau commercial?
Je veux repartir sur de nouvelles bases. Pour l'heure, je coupe l'export, je me reconcentre sur Quimper. J'ai annulé notre présence à un salon à New-York. Je la maintiens à Paris en septembre pour «Éclats de mode».

Où en sont les discussions avec la mairie, propriétaire des bâtiments de Locmaria?
Les discussions se sont toujours bien passées avec la mairie et Marc Andro. Je vais financer des travaux de modernisation très rapidement tout en étant locataire. L'objectif est toujours de réduire l'espace de plus de la moitié. On peut largement se concentrer sur le bâtiment principal qui accueille l'atelier de fabrication et le magasin. La ville a des projets pour les espaces qui seront libérés. À un moment, il me faudra sans doute être maître de l'organisation de la production et envisager un achat. J'ai une formation d'ingénieur, je suis intraitable sur l'organisation.


                                 Jacky Hamard - Le Télégramme

jeudi 28 juillet 2011

Les associations et la céramique de Quimper

Suite à un article du jour dans le journal Le Télégramme, je me permets de revenir sur les propos de la journaliste.
L'article s'ouvre en effet sur ce texte malheureux : "C'est un comble ! La seule association internationale de passionnés de faïences quimpéroises a été fondée par... deux américaines"


Certes, le Quimper Club International est une association internationale d'amateurs de céramique de Quimper, mais c'est faire l'impasse sur une autre association, française, qui n'est nullement concurrente du Quimper Club mais bien complémentaire. Je veux ici parler de l'Association des Amis du Musée de la Faïence de Quimper, une structure d'autant plus vivante qu'elle bénéficie aujourd'hui de la rouverture du Musée de la Faïence et prépare plusieurs actions pour l'avenir proche.
Le Quimper Club International tiendra sa réunion annuelle à Quimper cette année en septembre, quant à l'Association des Amis du Musée elle tiendra son assemblée générale annuelle le 11 août prochain au Musée de la Faïence.
Les deux associations ont pour but avoué de valoriser la céramique quimpéroise, ancienne et actuelle, en la faisant connaître et reconnaître.

Étant à la fois correspondant pour la France du Quimper Club et membre du bureau de l'Association des Amis du Musée de la Faïence, je voulais immédiatement clarifier cette phrase malheureuse d'une journaliste !

                                      Philippe Théallet

mardi 26 juillet 2011

Marjatta et Jean-Claude Taburet : bientôt un livre

C'est désormais officiel, Marjatta et Jean-Claude Taburet travaillent d'arrache-pied à un ouvrage qui illustrera 50 ans de leur création.
Marjatta et Jean-Claude Taburet - cliché Le Télégramme 2008
Le livre est actuellement à l'état de maquette et sera très probablement disponible à la vente pour la fin de l'année. En fin d'été une souscription sera lancée et je ne manquerai pas de reparler de ce beau projet.

samedi 16 juillet 2011

Horaires de plein été


La galerie adopte des horaires de plein été à compter de lundi prochain. Vous pouvez donc désormais passer également le lundi à partir de 14h00 et jusqu'à 19h00. Les ouvertures du mardi au samedi, de 10h30 à 19h00 sont, bien sûr, maintenues. De plus, la galerie sera également ouverte le dimanche 24 juillet (de 13h00 à 19h00), jour de clôture du Festival de Cornouaille.
Bon été à tous !

Contact et renseignements :
 02 98 90 18 22 - 06 61 79 40 69 - galerie.theallet@laposte.net

jeudi 14 juillet 2011

Georges Robin - Quimpéroise au chat

Œuvre vendue 

Une quimpéroise tient dans ses bras un chat qui joue avec sa coiffe. Tel est le sujet que Georges Robin (1904-1928) a choisi pour cette superbe céramique en grès en vente à la galerie.
Georges Robin, Quimpéroise au chat, années 1920-1930, grès - au revers HB Quimper Ar Seiz Breur Robin - H. 27 cm ; L. 13 cm ; l. 10 cm.
On l'a souvent dit, mais au-delà du lieu commun c'est une évidence, Georges Robin fait partie des sculpteurs bretons les plus doués de sa génération. Natif de Nantes, il se forme à l’École des beaux-arts de la ville avant d'intégrer les Beaux-Arts de Paris. C'est à cette époque parisienne qu'il fait la connaissance de Jeanne Malivel et des époux Creston. Très rapidement il intègre le groupe Seiz Breur dont il sera l'un des représentants les plus actifs. 
Robin a commencé à travailler avec la manufacture HB dès 1924 et l'on peut penser que le choix de cette entreprise est lié aux grès de grand feu de belle qualité qui y sont produits. 
Éditant des pièces à la fois sous son nom et sous l'anagramme Brion, il laisse dans la céramique quimpéroise de l'entre-deux-guerres une forte empreinte. Ses porteuses de goémon, paludières, femme en prière, Bigoudène, Quimpéroise au chat, Cornouaillais ou femme au sac comptent au nombre des céramiques quimpéroises en volume les plus abouties.
 La Quimpéroise au chat ou Femme au chat a été sans doute originellement éditée en grès en 1927 comme l'indique la mention présente dans le livre consacré au sculpteur (livre Sculptures de G. Robin, préfacé par Paul Ladmirault, également en vente à la galerie).
Photographie d'une page du livre "Sculptures - G. Robin"
L’œuvre en vente est dans un état parfait. Au revers apparait le nom de l'artiste, de la manufacture, ainsi que la Ar Seiz Breur qu'il était seul, à ma connaissance, à utiliser dans la signature de ses œuvres.
Le livre Sculptures de G. Robin a été édité par Keltia en 1931. En une cinquantaine de pages il illustre à la fois la création de l'artiste (notamment ce superbe chemin de Croix en bois actuellement non localisé) mais aussi quelques pages de projets. L'ouvrage, broché, est en bon état de conservation.


Contact et renseignements :
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jeudi 7 juillet 2011

HB-Henriot : décision du tribunal de commerce

Comme on pouvait s'y attendre, la décision du tribunal de commerce vient de tomber. Jean-Pierre Le Goff est désormais aux commandes de la manufacture HB-Henriot.
Voir le court article du journal Le Télégramme en suivant ce lien.

De Turner à Monet - la découverte de la Bretagne par les paysagistes au XIXe siècle

Comme je l'annonçais il y a quelques semaines, le Musée des beaux-arts de Quimper présente une exposition estivale digne d'intérêt. Le grand espace qui a été dévolu à la présentation des œuvres permet de mettre en évidence l'évolution du traitement du paysage sur plus d'une centaine d'années, mais aussi éclaire de manière fascinante le changement de la perception du territoire breton dans les mentalités. Très belle exposition donc, avec notamment en point d'orgue l'impressionnant "Port de Brest" de Turner ou encore des vues de Belle-Ile par Monet. Un coup de cœur personnel... "le Port de Camaret par ciel d'orage" (1873) de Boudin, habituellement visible à Lille.
L'hebdomadaire "Télérama" livre cette semaine une critique de cette exposition dont les dernières lignes me réjouissent particulièrement... La solution à l'uniformisation des centres-villes ne tient elle pas dans la recherche des commerces originaux et différents, à quelques pas des grands axes touristiques ?

Pour en savoir plus, on se plongera avec intérêt dans le catalogue de l'exposition publié en coédition par Palantines et le Musée des beaux-arts de Quimper (riche iconographie au-delà même des œuvres présentées à l'exposition), mais aussi dans deux ouvrages de Denise Delouche : Monet à Belle-Ile et Eugène Boudin et la Bretagne (les deux ouvrages aux éditions Palantines).

Octave Penguilly-L’Haridon, Les Petites Mouettes, 1858, Rennes, musée des beaux-arts
En 1847, un jeune professeur de dessin parisien nommé Charles Lesage entreprend un périple à pied de Rennes jusqu'à Brest, carnets de croquis en poche (une quinzaine de dessins ici présentés). A l'époque, la Bretagne, ça se mérite : soixante-douze heures depuis Paris par la malle-poste, un peu moins en vapeur (via la Loire), auberges calamiteuses, paysans méfiants. Lesage fait partie de cette nouvelle génération d'artistes lasse des voyages pittoresques policés, qui recherche la rudesse et l'étrangeté vers l'ouest. La péninsule, auréolée de ses légendes celtiques, attise toutes les curiosités. Leur Saint-Graal, c'est le bout du monde, le vrai : la pointe Saint-Mathieu et ses hautes falaises. Une abbaye y tombe en ruine. Lesage la couronne d'un halo sur papier bleuté. Turpin de Crissé, en 1806, la campe sous la pleine lune, dans un fracas de rochers aux couleurs ardoisées.
La mer aussi, bien sûr, attire ces artistes de plein air dont le musée de Quimper retrace les pérégrinations, du début du siècle jusqu'aux derniers feux de l'impressionnisme - une superbe Tempête, côte de Belle-Ile, de Claude Monet (1886), clôt le parcours. Le sujet est inédit, car, curieusement, l'histoire de l'art s'est plus intéressée aux représentations de la vie bretonne (paysans, pardons, etc.) qu'à ces paysages puissants qui soufflent une énergie nouvelle, où l'imaginaire n'est jamais loin. Turner, par exemple, en 1827, peint le port de Brest nimbé d'un fog orangé, entre Tamise et Venise ; Corot, les fontaines de l'arrière-pays où la vie âpre semble régie en silence ; Octave Penguilly-L'Haridon, en 1861, des rivages lunaires, quasi surréalistes. Quatre-vingts peintures, cinquante dessins : chacun y cherche son coin, sa plage, sa ruelle aujourd'hui formatée par les boutiques franchisées, à cinq heures de Paris en TGV.

| De Turner à Monet, la découverte de la Bretagne par les paysagistes au XIXe siècle, jusqu'au 31 août au musée des Beaux-Arts de Quimper (29) | Tél. : 02-98-95-45-20 | Catalogue co-éd. MBA Quimper-Palantines (192 p., 32 EUR).
 
                                              Sophie Cachon

Source : Telerama n° 3208 - 09 juillet 2011

mardi 5 juillet 2011

HB-Henriot... suite

Jean-Pierre Le Goff serait le seul repreneur potentiel de la faïencerie HB-Henriot. Nonobstant une réduction du personnel, les premières déclarations d'intention du probable futur PDG rassureront les amateurs de céramique de Quimper. De plus (voir plus bas) une coopération voire une coopération avec la Faïencerie d'Art Breton est envisagée. Une nouvelle page de la longue histoire des faïenceries quimpéroises s'écrirait donc. Mais attendons jeudi prochain la décision finale du tribunal de commerce avant de songer à l'avenir...

Jean-Pierre Le Goff (à droite) - cliché Le Télégramme

Le Télégramme - 5 juillet 2011 :

HB-Henriot. Plus qu'un repreneur en lice

Sur les trois candidats déclarés à la reprise d'HB Henriot, un seul s'est présenté hier devant le tribunal de commerce de Quimper. Jean-Pierre LeGoff et sa société Ciranoé propose de garder 26 des 50 salariés et de repositionner la faïencerie dans le haut de gamme. Décision jeudi.

La semaine dernière encore, le comité d'entreprise d'HB-Henriot a rencontré séparément les trois candidats. Mais hier après-midi, ni l'investisseur rennais ni les deux associés nantais n'ont fait le déplacement à Quimper.

Reprise de 26 des 50 salariés

Durant un peu plus d'une heure, le tribunal de commerce de Quimper a étudié, à huis clos, la seule proposition émise par la société Ciranoé. «Je veux repositionner la marque vers le haut de gamme, dans les arts de la table, la décoration, les bijoux, faire appel à des créateurs», a expliqué son dirigeant Jean-Pierre Le Goff à l'issue de l'audience exceptionnelle. Sans oublier toutefois le célèbre bol à oreille. Ce «Breton bigouden né à Paris» selon son expression, a évoqué tout à la fois un «coup de coeur» pour la faïencerie et un «vrai projet industriel» en confirmant la reprise de 26 des 50 salariés, un maintien de l'activité à Locmaria (*). «La procédure de licenciement va tomber pendant les congés, ce n'est pas très agréable», a-t-il précisé. L'atelier est en effet en vacances depuis vendredi soir pour trois semaines officiellement.

«Respect du peint-main...»

Son projet privilégie ainsi les personnels de production et le maintien de six des treize «peinteuses», le candidat repreneur évoquant le «respect du peint-main, du produit Henriot». L'offre financière n'a toutefois pas été précisée. «Dans l'immédiat, il y a 60.000€ de travaux de mises aux normes à faire», a-t-il indiqué, envisageant d'abord une location des locaux. «La faïencerie fait un chiffre d'affaires de 2M€ et perd 500.000€. Je veux faire retourner HB-Henriot sur des bases saines et la stabiliser en supprimant les frais commerciaux et administratifs», a-t-il précisé. Âgé de 57 ans, cet ingénieur naval, ancien de l'École centrale de Nantes, a fait sa carrière au ministère de la Défense avant de créer en 1986 à Nantes, une société de transfert de technologie. Sirhena a été cédée en deux étapes à DCNS en2008 et2010. Elle comptait alors 30 salariés. Mi-mars de cette année, Jean-Pierre Le Goff a repris le chantier naval Sibiril à Carantec en difficulté.

Un rapprochement avec la FAB?

À Quimper, il a indiqué une volonté de rapprochement avec FAB, la deuxième faïencerie quimpéroise. «Je suis en discussion pour trouver un terrain d'entente», a-t-il indiqué. Il pourrait passer par un «partenariat pur et simple» jusqu'à un «rachat» pour que «la faïence quimpéroise soit gagnante». «Si le tribunal m'écoute, je veux éviter la concurrence, elle est stérile et destructrice d'emplois», a-t-il plaidé annonçant avoir demandé les clés de l'entreprise dès lundi. Il a aussi laissé entendre un «schéma de développement de Locmaria avec la ville de Quimper».

«Activité emblématique de Quimper...»

«Nous souhaitons favoriser une reprise sur place, pérenniser cette activité emblématique de Quimper et développer un projet à Locmaria». Hier, Marc Andro, adjoint au maire, a rappelé la philosophie d'intervention de la Ville qui l'avait conduit à racheter l'intégralité des locaux de la faïencerie pour un peu plus de deux millions d'euros. «J'attends la décision du tribunal», a-t-il indiqué prudent. «C'est un dossier très difficile. Jean-PierreLe Goff a été très volontaire», a-t-il souligné, constatant sa seule présence au tribunal. Réponse jeudi.

(*) Les parents de Jean-Pierre Le Goff sont originaires de Plozévet et de Guiler-sur-Goyen, il est marié à une Douarneniste.

                                       Jacky Hamard

samedi 2 juillet 2011

Bernard Galéron - Faïence de Quimper

Hasard ou coïncidence, à l'avant-veille de l'annonce du nom du repreneur de la manufacture HB-Henriot, la galerie débute une collaboration avec un photographe breton, Bernard Galéron, sur le thème de la faïence de Quimper.
Bernard Galéron - Enfants et pots
Diverses photographies sont désormais en vente, exécutées dans les greniers de la manufacture HB-Henriot, dans cette ambiance si particulière où les moules et plâtres se mélangeaient et rappelaient la patine du temps qui passe. L'évocation des matières et de la douce lumière du lieu sont mis en évidence par des tirages de qualité.
Bernard Galéron - Bigoudène assise
Chaque photographie (format de papier A3) n'est tirée qu'à trois exemplaires digigraphiques, numérotés et signés par Bernard Galéron, et vendus avec certificat d'authenticité.

Contact et renseignements :
 02 98 90 18 22 - 06 61 79 40 69 - galerie.theallet@laposte.net